Inutile de vous rappeler que je suis un homme d’ordre et que, si la femme chez nous est inférieure à l’homme, ce n’est pas parce que Dieu l’a voulu ou que le Prophète l’a décidé, mais parce qu’elle accepte ce sort.


Quand j’avais une vie extérieure, quand je sortais et voyageais, je remarquais combien ce peuple est affamé de sexe. Les hommes regardent les femmes en pétrifiant leurs corps ; chaque regard est un arrachage de djellaba et de robe. Ils soupèsent les fesses et les seins, et agitent leur membre derrière leur gandoura.