La perte de la foi coïncide toujours avec l’éveil des sens. A ce moment critique, où la nature nous réclame pour son service, l’aperception des choses spirituelles s’éclipse ou s’abolit chez le plus grand nombre. L’accoutumance aux brutalités de l’instinct finit par tuer la délicatesse du sens intérieur. Ce n’est pas la raison qui détourne de Dieu l’adolescent, c’est la chair. L’incrédulité ne fait que fournir des excuses à la vie nouvelle qu’il mène.


« Mes frères, la voix de votre évêque retentit à vos oreilles, il vous supplie, vous tous qui êtes dans cette Eglise, de vous garder d’insulter ceux qui n’y sont pas, mais plutôt de prier pour qu’ils entrent dans votre communion. »