A propos de la division entre la droite et la gauche françaises, le général a expliqué qu’il y avait deux sortes de droites : la “petite noblesse de campagne” et les classes aisées. La première (“et j’en suis”, a-t-il dit), inspirée par le patriotisme du plus haut niveau, est prête à tous les sacrifices pour la gloire de la France ou pour le bon gouvernement du pays. La majorité du clergé appartient à cette catégorie. La seconde, celle des nantis se montre beaucoup plus égoïste et ouvertement hostile à l’émancipation des classes ouvrières.