Je n’envie pas ceux qui n’ont pas connu la faim, parce qu’ils ne connaîtront jamais la joie d’une miette de pain.


Nos actes nous engagent.

Il dépend de chacun de choisir d’être humain ou d’humilier,

De devenir violent ou de pacifier.

Il dépend de chacun de dire, de redire,

Que la vie est sacrée et unique,

Que c’est la solidarité et la mémoire qui peuvent sauver l’humanité.


C’est à l’intérieur de l’univers familial que se transmet l’amour de la vie ou la violence. La famille est un repère, un lieu d’envoi de nos enfants à leur responsabilité, à leur vie. Je suis convaincu que c’est de l’harmonie dans la famille que dépend la paix du monde.

Un commentaire midrashique dit pourquoi l’Eternel n’a pas achevé la création : « C’est pour que chaque être humain puisse le parachever. »