Il considérait qu’il y avait des gens pieux dans toutes les religions et que s’ils abandonnaient une foi pour une autre c’était pour poursuivre la quête de quelque chose qu’ils n’avaient pas trouvé dans la leur – sans que cela voulût dire nécessairement qu’elle ne s’y trouvait pas ! – que s’ils en changeaient, c’était en emportant leur piété avec eux et que ces gens-là sont pur bénéfice pour toutes les religions.