Le consul et son secrétaire, l’un par dépit de ne pouvoir la soumettre et l’autre par regret de n’avoir jamais pu s’y abandonner, détestaient également la liberté et la reconnaissaient devant eux.
Vous semblez penser que le Roi n’a qu’une volonté. On peut craindre pourtant qu’autour de lui il ne s’en exprime plusieurs : une pour ceux qui veulent faire son salut ; une autre pour ceux qui mènent sa politique.