Pour qui tend convenablement sa voile au souffle de la Terre, un courant se décèle qui force à prendre toujours la plus haute mer. Plus un homme désire et agit noblement, plus il devient avide d’objets larges et sublimes à poursuivre.
Pierre Teilhard de Chardin s. j. – Le Milieu Divin

© Marc Leroy - Les voiles du Morag