Une feuille de choux poussa le portrait encore plus loin : je fréquentais depuis plusieurs années, en qualité de président d’honneur, « un mystérieux groupe baptisé les Bretons du Japon, sorte de société secrète qui noue des liens ésotériques entre Tokyo et la Celtarmorique ». Il était précisé que je « célébrais des messes à base de gui » et que je « collectionnais des petits bateaux dans des bouteilles de verre. »
A Tokyo comme à Bangkok, le « club des ambassadeurs francophones et gastronomes » était régi par un règlement strict qui combinait avec harmonie et intelligence diplomatie, langue française et gastronomie, en respect de l’adage mens sana in corpore sano, d’ailleurs référencé en tant que tel dans les statuts.